flash apparetion etrange il de la reunion
vendredi 27 février 2015
jeudi 26 février 2015
Un Ovni dans le ciel réunionnais ?
Un Ovni dans le ciel réunionnais ?
Rédigé le 26/02/2015
Dans la soirée du mardi 24 février, plusieurs personnes auraient aperçu un OVNI (Objet Volant Non Identifié) dans le ciel réunionnais, plus précisément au niveau du 27ème kilomètre à la Plaine-des-Cafres sur la commune du Tampon. Un internaute a filmé cette lumière qui "tournait sur elle-même" mais pour l’heure, le mystère reste entier.
Durant la nuit du mardi 24 au mercredi 25 février, plusieurs personnes auraient repéré un OVNI dans le ciel réunionnais. Ce jeudi, un internaute a tenu à apporter son témoignage en contactant la rédaction d’Antenne Réunion.
Cet homme affirme avoir vu un OVNI alors qu’il se trouvait à la Plaine-des-Cafres et plus précisément au niveau du 27ème kilomètre. "J’ai vu une lumière en direction du sentier du Piton des Neiges, une lumière qui tournait sur elle-même...". Intrigué, cet homme a sorti son téléphone portable pour filmer la scène mais la lumière en question a ensuite littéralement disparu.
Cet internaute affirme être "sûr à 100% qu’il ne s’agissait ni d’un drone, ni d’une météorite". Pour l’heure, le mystère reste donc entier concernant cet hypothétique OVNI repéré dans le ciel réunionnais...
Si vous aussi, vous avez pu observer ce phénomène, n’hésitez pas à envoyer vos témoignages.
Retrouvez la vidéo de l’OVNI filmé par cet internaute
mercredi 25 février 2015
Le témoignage du commandant jak krine,ancien chef de patrouille de france
Jack Krine naît à Comé en 1944. A partir de 1961, il est pilote de chasse dans l'Armée de l’Air française puis chef-moniteur, officier de sécurité des vols, instructeur combat aérien Mirage 3. Il participe à l’évaluation en combat aérien du Mirage 3 et du Mirage F1 au Centre d’Expérimentation Aérienne de Mont-de-Marsan.
Observation
Le 23 septembre 1975 à 23:00, lors d'une mission d'entraînement nocturne avec un autre avion, dans la région de Cambrai, Krine fait une observation répétée 3 fois :
"J'étais à l'époque capitaine, chef de patrouille instructeur confirmé à l'escadron de chasse "Seine". Vers 22 h 30, nous décollons de Creil à 2 chasseurs pour une mission d'entraînement-rassemblement radar appelée "Plastron Mimosa". Un exercice relativement délicat, simulant l'interception de nuit d'un avion sans identification. Je vole sur un Dassault Mirage 3-C et monte à 12 000 m d'altitude vers le secteur nord, dans une zone de travail comprenant Cambrai, Reims et la Belgique. La nuit est très noire mais avec une voûte étoilée extraordinaire. J'arrive à une vitesse subsonique à 28 km à l'arrière de l'autre Mirage, quand soudain, je vois passer entre lui et moi un truc très lumineux ! Ca pourrait être un autocar ou le fuselage d'un avion de ligne d'une quinzaine de m de long, de forme allongée avec de gros hublots bien éclairés de l'intérieur. Je demande à mon ailier : "Tu vois quelque chose ?" Il me répond non. Je signale au contrôleur radar : "Vous avez quelque chose entre nous ?" "Non, négatif, on n'a rien..." Au moment où j'approche de la chose, elle file et disparaît instantanément. Nous nous éloignons sur 9 km pour un autre virage relatif. Et pouf ! Ca réapparaît... J'ai alors annoncé au pilote de l'autre Mirage : "Tu as un truc dans tes 2 h ! Tu le vois ?" L'autre capitaine répond : "Ouais... Je le vois... C'est drôle, c'est curieux ! On va dessus..." Et hop, ça disparaît encore... On a fait ainsi 4 présentations, et pratiquement à chaque fois, ce truc se trimbale entre nous et dégage. Après 30 mn de vol, nous sommes rentrés en patrouille serrée à Creil sans rien dire. En tous cas, ça ne ressemblait à rien de ce que je pouvais identifier."
A partir de 1976 il intégré à la Patrouille de France comme leader Solo. En 1978, il quitte l’Armée de l’Air pour devenir pilote de ligne à Air France, et accéde ensuite au grade de commandant de bord et instructeur sur Airbus A 320.
Colonel de réserve, il est officier supérieur adjoint au colonel commandant le Sirpa Air. Il a plus de 400 meetings aériens à son actif. Lors du meeting aérien international de Cholet, Krine est le directeur adjoint des vols, il seconde le directeur des vols. Parrain de l’Aérienne du Choletais depuis sa création, Krine totalise plus de 15 000 h de vol. Il est Officier de l'Ordre National du Mérite, et a réçu la Médaille de l'aéronautique sur 42 types d'avions.
Références :
* [VSD 9808 H, p. 29]
* OVNIs - Lle secret américain, documentaire de Vincent Gielly (France 2, 2002).
* "Ovnis : mystère sur la planète", Pièces à conviction n° 60, France 3, vendredi 29 juin 2007, 23 h 20
* "La soirée de l'étrange", TF1, 25 octobre 2008, 21:35
Beaucoup d'autres infos sur les témoignages des pilotes et traces radars ici :
http://www.forum-ovni-ufologie.com/f63-ii-cas-aeriens-et-detection-radar
En savoir plus sur http://m.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-les-premiers-rapports-des-pilotes-d-avions.html?version=mobile#ujgYKgjrF5PL0KyR.99
Trou noir
À la fin du mois de mars 2011, le satellite Swiftde la NASA, a alerté les astronomes d’une intense et inhabituelle nouvelle source lumineuse de haute énergie dans la constellation de Draco. Ils ont vite compris que la source, qui est maintenant connue sous le nom de Swift J1644 57, était le résultat d’un évènement vraiment extraordinaire, le réveil d’un trou noir qui déchiquetait et consommait une étoile. Voir mon article pour encore plus de précisions : d’importants sursauts de rayons gamma signalent qu’un trou noir est en train de dévorer une étoile. La galaxie est si loin, que le rayonnement de l’explosion a parcouru 3.9 millions d’années avant d’atteindre la Terre.
Les représentations spéculatives, de quelque chose d’invisible, sont souvent mal faites au mieux et au pire totalement fausses. Lorsque la NASA prend les choses en main pour nous présenter une visualisation d’un trou noir enveloppant une étoile, les résultats sont étonnants.
Ce fut le cas cette semaine, quand la NASA a posté cette vidéo montrant une étoile qui a apparemment été mangée par un trou noir, dans une galaxie lointaine, 3.9 millions d’années auparavant.
Les jets de particules en résultant, se déplaçaient à 80%-90% de la vitesse de la lumière et étaient directement pointés vers la terre, rendant sa détection possible. Selon la NASA, "Alors qu’une étoile tombe vers un trou noir, elle est déchirée par les courants intenses. Le gaz est parqué dans un disque qui tourbillonne autour du trou noir et est rapidement chauffé pour atteindre des températures de millions de degrés."
lundi 23 février 2015
amas d'étoiles
Description
L'origine du nom « Pléiades » provient de la mythologie grecque : les Pléiades sont sept sœurs, filles d'Atlas et de Pléioné : Astérope, Mérope (ou Dryope, ou Aéro), Électre, Maïa, Taygète, Célaéno (ou Sélène) et Alcyone.
On dénombre aujourd'hui environ 500 étoiles composant cet amas, dont une douzaine sont visibles à l'œil nu. Il s'étend sur 2°, soit l'équivalent de 4 fois le diamètre apparent de la Lune. Sa densité est donc relativement faible par rapport aux autres amas ouverts. L'âge de l'amas est estimé à 100 millions d'années, mais il ne devrait pas vivre longtemps puisqu'il devrait se séparer dans 250 millions d'années, en partie à cause de sa faible densité. Il s'agit bien ici de la vie de l'amas et non des étoiles le composant.
Les 9 étoiles les plus brillantes de l'amas tirent leur nom des 7 sœurs et leurs parents. Leurs magnitudes sont comprises entre 2,86 et 5,44, donc accessible à l'œil nu. Astérope a la particularité d'être une étoile double.
L'histoire de leur découverte
Les Pléaides sont connues depuis l'Antiquité, puisque la plus ancienne référence écrite de cet objet remonte au poète Hésiode (700 av. J.-C.). Une représentation picturale de cet amas se retrouve aussi sur le disque de Nebra daté du début de l'âge du bronze (1600 av. J.-C.). La « constellation » des Pléiades est également citée dans de nombreuses cultures et religions. À l'époque d'Hésiode, on croyait à son influence sur l'agriculture (un peu comme la Lune de nos jours). Elle apparaît également dans l'Odyssée d'Homère, ainsi qu'à trois reprises dans la Bible.
Le 4 mars 1769, Charles Messier ajoute cet amas à son catalogue astronomique. En 1846, l'astronome allemand Johann Heinrich von Mädler note que les étoiles n'ont pas de mouvement mesurable, l'une par rapport à l'autre. Il en déduit qu'elles forment le centre d'un système stellaire bien plus large dont Alcyone serait la plus près du centre. L'hypothèse fut réfutée par les autres astronomes. On retient cependant qu'elles se déplacent bien en groupe.
Les premières photos de l'amas révèlent un nuage de poussière autour des étoiles. Cette nébuleuse réfléchit la lumière de ces étoiles, situées à proximité ou à l'intérieur. La plus brillante partie est découverte le 19 octobre 1859 par Ernst Wilhelm Leberecht, autour de Mérope ; nébuleuse répertoriée en tant que NGC 1435. En 1875, une extension du nuage est découverte autour de Maïa et classée à NGC 1432. D'autres extensions sont observées autour d'Alcyone, Électre, Célaéno et Taygète en 1880. La structure complexe du nuage est finalement révélée par les frères Henry et Isaac Roberts entre 1885 et 1888.
Cette nébuleuse n'est pas un reste du nuage de poussière originel qui a donné naissance aux Pléiades. En effet, les deux objets n'ont pas la même vitesse apparente. L'amas aura croisé ce nuage sur son chemin.
Anecdote à propos des Pléiades : le nom japonais de l'amas est Subaru, qui signifie « unité ». En 1953, 5 firmes japonaises ont fusionnées pour former « Fuji Heavy Industries Ltd ». Ce nouveau groupe a adopté l'amas Subaru en tant que nom et logo de la marque de voiture bien connue.
Comment l'observer
Carte schématique du cielGrâce aux fortes magnitudes des étoiles le composant, cet amas est visible à l'œil nu dans le ciel d'automne. Il est situé dans la constellation du Taureau à proximité de l'axe formé par les étoiles : Sirius (Grand Chien) - Ceinture d'Orion (Orion) - Aldébaran (Taureau).
En plus d'être un bel objet, c'est aussi un excellent test d'acuité visuelle ! On distingue rapidement 5 étoiles, puis, au fur et à mesure que l'œil s'accommode, d'autres étoiles apparaissent. Ainsi, jusqu'à 10-11 étoiles sont visibles si les conditions météo sont bonnes.
Avec une paire de jumelles, ou un télescope avec un champ large, on obtiendra bien plus d'étoiles. C'est de cette manière que l'amas donnera le plus de satisfaction. Avec des télescopes plus puissants ou avec un champ plus étroit, seule une partie de l'amas sera visible.
La nébuleuse ne se dévoile véritablement qu'en photographie.
Les tardiragrades
Des sphères de métal microscopiques contenant de l’ADN ont-elles apporté la vie sur Terre?
par
le 21 février 2015
La découverte pourrait totalement bouleverser notre compréhension de la vie sur terre et dans l’univers. Un groupe de scientifiques anglais affirme avoir découvert dans la haute atmosphère une sphère de métal microscopique contenant de la matière organique qui aurait été envoyée sur terre par une civilisation extraterrestre pour «ensemencer» notre planète. Cela s’apparente plus au début d’une nouvelle de science-fiction qu’à de la science pure et dure… et pourtant.
La mystérieuse balle de métal a été photographiée expulsant une substance biologique qui selon les scientifiques pourrait être du matériel génétique. Elle a été découverte par une équipe de chercheurs de l’Université de Sheffield et du Centre d’astrobiologie de l’Université de Buckingham. Plusieurs théories ont été avancées pour expliquer l’existence de cette sphère. Celle qui revient le plus souvent lui donne une origine extraterrestre et pour fonction d’apporter les matériaux de la vie sur terre, la thèse dite de la «Panspermie». Des scientifiques de renom défendent depuis plusieurs années cette théorie dont l’astrophysicien Carl Sagan et le prix Nobel Francis Crick, qui a co-découvert la structure de l’ADN.
Le Professeur Milton Wainwright, qui dirige l’équipe qui a découvert la sphère de métal, la décrit comme «une balle de la largeur d’un cheveu humain qui a des filaments à l’extérieur et du matériel biologique en son centre». Il ajoute: «nous avons été stupéfié quand une analyse au rayon x a montré que la sphère est faite essentiellement de titane avec des traces de vanadium».
Les scientifiques ont découvert la sphère après avoir envoyé des ballons à 27 kilomètres d’altitude pour récupérer des particules venant de l’espace. L’objet de la recherche menée par Milton Wainwright consiste justement à trouver des preuves que des organismes vivants microscopiques arrivent en permanence sur terre. Il ajoute que la balle découverte a laissé un impact sur le ballon «ce qui prouve qu’elle arrivait sur terre de l’espace. Un organisme venant de la terre ne se serait pas déplacé à une telle vitesse en retombant et n’aurait pas eu un tel impact…».
La NASA a aussi lancé un programme de recherche comparable et cette découverte coïncide à quelques mois près avec la création par des scientifiques britanniques et japonais de l’Institute for the Study of Panspermia and Astroeconomics (L’Institut pour l’étude de la Panspermie et de l’Astroéconomie) dont l’objectif est de prouver que la vie sur terre vient du cosmos.
L’Institut affirme que: «les institutions scientifiques ont combattu ces théories mais maintenant des preuves venant de météorites, de bactéries dans l’espace et d’observations rendent cette résistance moins forte. Prouver que la terre est dans un échange constant de matière avec le cosmos aura des implications pas seulement pour notre identité, mais aussi nous apportera des connaissances sur les virus extraterrestres ce qui peut être important pour notre évolution et notre survie».
dimanche 22 février 2015
Ile de la réunion
OVNI aperçu dans le ciel de Saint-Denis pendant la nuit de Noël
"Au début, l’objet était en forme de croix, et possédait une couleur blanchâtre entourée de halos bleu et jaune, témoigne-t-elle. Il est resté au moins 3 minutes sans bouger". Le temps pour Nathalie de prendre des clichés avec son smartphone : "Ce qui est bizarre, c’est qu’un écran noir est apparu sur mon téléphone portable, j’ai cru que je n’avais pas réussi à prendre la photo".
Autre fait pour le moins inexplicable, la source lumineuse s’est "étirée dans la longueur et s’est mise à clignoter avant de filer à une vitesse indescriptible vers l’Est". "J’ai d’abord pensé que c’était une étoile, ou une lanterne chinoise que des gens avaient envoyé dans le ciel puisque c’était Noël, poursuit-elle. Mais quand elle s’est mise à se déplacer à la vitesse du son, j’ai commencé à formuler d’autres hypothèses".
Quant à savoir s’il s’agissait d’une soucoupe volante, la Dionysienne préfère ne pas s’avancer : "Tout ce que je peux dire, c’est qu’il s’agissait d’un objet que, moi, je n’ai pas pu identifier". Et d’ajouter : "Il m’a paru proche et j’ai été prise d’une émotion intense mais je n’ai pas eu peur".
Nathalie, qui était seule chez elle ce soir-là, a immédiatement posté les photos sur Facebook pour partager l’incroyable scène qu’elle venait de vivre, ce qui lui a permis de recueillir le témoignage d'un autre internaute qui affirme lui aussi avoir vu un objet non identifié quelques jours plus tôt, cette fois-ci dans le ciel du Port.
humanoïde science technologie robotique
anomalie sur venus
Voici donc quelques images pour commencer, et vous remarquerez que les pixels n'ont strictement rien à voir avec ce que je vous montre. Il semblerait que des structures fabriquées par une intelligence de Vénus et ressemblant bien à ce que les terriens fabriquent sur la Terre, apparaissent sur cette carte :
samedi 21 février 2015
vendredi 20 février 2015
Fin du monde : une nouvelle planète habitable découverte près de de la Terre
Le Southern Sky Survey.
Découverte de l’étoile la plus âgée connue
La Bataille de Los Angeles
"Moins de 3 mois après Pearl Harbour, la menace d’invasion se faisait sentir, beaucoup y compris les militaires s’attendaient à être bombardés prochainement. Par conséquent, la région californienne était un des terrains d’exercices de la défense anti aérienne. Chaque soir, les militaires tiraient sur des cibles envoyées dans les airs au dessus de l’océan par des avions spécialement conçus à cet effet. Les cibles étaient éclairées par des projecteurs qui illuminaient les éclats d’obus. Du grand spectacle qui durait une demie heure, se terminant avant 22 heures.
Au début, nous les gosses, regardions tout ça totalement fascinés mais après quelques veillées début janvier, le bruit des tirs et des explosions devint routinier, aussi prévisible que le bruissement des vagues pendant l’hiver. Cela nous donnait une certaine sécurité, nos braves militaires de la défense aérienne nous sauveraient rapidement d’une attaque des mauvais japonais si l’idée leur venait de pénétrer notre espace aérien.La soirée du 24 février fut ordinaire, quelques exercices suivis de silence avant 22 heures. Je suis allé me coucher et j’ai lu un peu à la lumière de la lampe électrique que je cachais sous mon oreiller, puis je me suis endormi. |
Mon père avait l’air inquiet et disait que ça n’avait aucun sens. Il était gardien de surveillance de raid aériens et avait essayé de joindre le quartier général de la défense civile mais il n’obtenait pas de réponse. (Nous avons appris plus tard que l’alerte avait été donnée à 2h25 mais personne n’avait pensé à prévenir les gardiens locaux). Alors il a mis son attirail et est sorti voir ce qui se passait.
Il est vite revenu, plus inquiet que jamais et dit à ma mère de m’emmener ainsi que mes trois grands-parents qui vivaient avec nous, en bas dans l’abri qu’il avait commencé à construire l’après-midi du 7 décembre. Aussi vite que possible. Habituellement, mon grand-père maternel était plus lent que le retour du Christ pour tout ce qui était de ses habitudes personnelles, c’est à dire s’habiller, se raser, etc… |
Je les suivis et ce n’était pas de gaité de coeur, je voulais sortir et voir toute l’action. Ma mère aussi, comme elle le dit plus tard, après 10 minutes à l’étroit (nous étions assis sur les bancs qui contenaient des kits de première urgence, des bouteilles d’eau, de la nourriture en boite), entourée de la génération des anciens et de l’haleine exhalée, elle était prête à confronter une bombe japonaise!
Notre première idée était que nous avions un escadron ennemi au dessus de la tête car nous entendions le vrombissement des moteurs d’avions, nous apprendrons plus tard que c’était notre propre chasse aérienne. Quand ma mère sortit de l’abri par la porte qui menait vers la plage, je la suivis. |
Ça pourrait expliquer pourquoi nous n’avons pas vu la phosphorescence orange rapportée par plusieurs témoins à Santa Monica et à Culver City où l’objet était beaucoup plus bas (un témoin a suggéré que cette lueur pouvait être la réflection d’éclats d’obus contre le corps argenté de l’objet)".
De toutes façons des obus anti-aériens explosaient tout autour du vaisseau mystérieux. Le bruit était assourdissant. A chaque fois qu’un nouvel éclair rouge survenait, l’odeur âcre de la cordite était plus prononcée.Des éclats d’obus tombaient sur la plage et nous devions reculer jusqu’à la maison pour les éviter (le lendemain, nous les gosses avons tout ramassé sur le sable pour les échanger pour quelques pièces). Malgré les tirs, le vaisseau n’émit aucun son, et n’agit pas de façon aggressive. |
Trajectoire de l'Objet
| Alors que nous regardions l’objet, la bouche grande ouverte, celui-ci pas le moins du monde dérangé par la pléthore de tirs dirigés contre lui, commença à se déplacer lentement vers le sud-est, descendant vers Redundo Beach où il disparut. L’objet réapparut au dessus de San Pedro et de Long beach avant de disparaitre finalement au dessus de l’océan quelque part entre les comtés d'Orange et de San Diego.Peu de temps après l’avoir perdu de vue, nous entendions de nouveau des moteurs d’avions, le bombardement avait presque cessé et plusieurs chasseurs de l’armée de l’air, des P-38 probablement basés à Mines Field (l’aéroport de Los Angeles aujourd’hui) venaient du nord-est, apparemment à sa poursuite. |
La photo, parue dans le Times du 26 février, est la seule que nous ayons du vaisseau, il est entouré des faisceaux lumineux des projecteurs de l'armée, les nombreux points blancs représentent les éclats d’obus lors des explosions.
Plusieurs habitants situés au nord des collines l’ont vu distinctement. D’après leurs rapports le vaisseau était circulaire avec une bosse sur le dessus. Un témoin qui l’a observé de sa fenêtre se souvient qu’il était énorme, de forme elliptique, émettant une lueur orange. |
Récemment, il a été suggéré que le vaisseau se soit écrasé dans l’océan au large de San Diego et qu’il fut récupéré par les plongeurs de la Navy. Toutefois, les preuves sont minces. Cependant cela expliquerait sa descente apparente au dessus de Redundo Beach. Peut-être l’objet a t-il été touché par la salve de tirs nourris qu’il reçut et qu’il a perdu le contrôle avant de s’enfoncer dans la mer.
Une autre théorie laisse croire qu’il aurait attérri sur l’île de San Clemente, une aire d’essais de la Navy. |