flash apparetion etrange il de la reunion

L’ufologie ou l’ovniologie, est une discipline qui consiste à recueillir, analyser et interpréter tout ce qui se rapporte au phénomène ovni (photographies, témoignages, traces au sol par exemple. une apparition sur il de la reunion hier soir a 21h30 le phénomène et résté 2 seconde sur place et reparti en direcetion de la mére a st louis

mercredi 18 mars 2015

La mythique cité de l’Atlantide découverte au Maroc ?

Un expert en informatique, pense avoir découvert le lieu exacte de l’Atlantide. Pour l’homme,  la cité perdue se trouverait au Maroc…

Selon les écrits du philosophe Grec Platon, l’Atlantide a été une merveilleuse métropole avancée qui a prospéré pendant des années avant de sombrer sous les eaux.

Bien que de nombreuses hypothèses aient été formulées au cours des siècles pour découvrir l’emplacement exacte de cette mystérieuse cité, une en particulier, a dernièrement attiré l’attention. C’est grâce à un livre publié il y a quelques jours par Mark Adams, s’appuyant exclusivement sur les découvertes d’un expert en informatique Allemand, Michael Hubner, que ce mystère fait à nouveau l’actualité.

La découverte d’Hubner a été fondée sur une analyse détaillée des découvertes historiques qui comprenaient des références aux « Colonnes d’Hercule », la présence d’éléphants, une structure en forme d’anneau dans la ville, et l’hypothèse selon laquelle la cité se situait à une distance d’environ 5 000 kilomètres de la capitale de la Grèce, Athènes.

L’Atlantide dans le Souss au Maroc ?

En combinant ainsi plus de 50 découvertes, et grâce au développement d’un logiciel pour analyser ces trouvailles, Hubner aurait réussi à déterminer l’endroit exact où l’Atlantide se tenait il y a des siècles. Une fois l’emplacement découvert, le programmateur a acheté un billet d’avion et des bottes de randonnée pour aller y jeter un œil.

Ainsi, l’homme s’est rendu au sud-ouest du Maroc, dans le Souss, une région qui a très peu connue de fouilles archéologiques. Hubner croit que, non seulement cette région est l’endroit exact de l’Atlantide, mais que la preuve soutenant l’idée que la ville a été détruite par un tsunami pourrait également être découverte.

Malheureusement, Hubner est décédé en 2013. Cependant, à savoir si l’homme a véritablement découvert l’emplacement de la cité perdue reste, pour l’instant, un mystère.

Source : Jeune Afrique

mardi 10 mars 2015

Grande galaxie d'Andromède


 



La galaxie d'Andromède, aussi connue sous le numéro M31 ou NGC 224, est une galaxie spirale géante du groupe local, très semblable à notre galaxie.

Andromède est la seule galaxie visible à l'œil nu depuis la terre dans l'hémisphère nord (celles de l'hémisphère sud étant le Petit Nuage de Magellan, et le Grand Nuage de Magellan). Elle a été observée en 905 par un astronome arabe (Abd-al-Rahman Al Soufi) qui la décrit comme un « petit nuage ». Sa première description à l'aide d'un télescope est réalisée par Simon Marius en 1612 (souvent décrit comme le découvreur de la galaxie).

Elle est située à environ 2,36 millions d'années-lumière (725 c) dans la direction de la constellation d'Andromède.

La galaxie d'Andromède est l'un des rares corps célestes situés à l'extérieur de notre propre galaxie pouvant être vu à l'œil nu dans des conditions lumineuses et climatiques favorables. C'est également un des objets les plus étendus de la voûte céleste. Son diamètre apparent s'étend autant que cinq pleines lunes.

La galaxie du Triangle et M81 sont cependant plus éloignés de notre Galaxie et également visibles à l'œil nu, quoique uniquement dans des conditions d'observation particulièrement favorables.

 

Composition

Selon une étude de l'Institut de radioastronomie millimétrique de Grenoble menée à l'aide de son antenne située près de Grenade en Espagne, la Galaxie d'Andromède regorgerait d'étoiles en formation grâce à des masses énormes de monoxyde de carbone et d'hydrogène moléculaire ; deux gaz indispensables à la formation de véritables pouponnières stellaires.

Mais en règle générale, on y retrouve tous les objets suffisamment étendus que l'on peut trouver, avec une plus grande taille apparente, dans notre propre Voie lactée.

Les bandes d'absorption qui marquent le disque de M31 sont autant de vastes nébuleuses obscures semblables en nature à la Nébuleuse de la Tête de Cheval, par exemple.

Moins abondantes que dans certaines galaxies telles que la Galaxie du Triangle, de nombreuses régions H II comparables à notre Nébuleuse d'Orion sont néanmoins aisément visibles sur les images détaillées et en couleurs où elles apparaissent en rouge.

Un autre type d'objet a été retrouvé en abondance : plus d'une centaine d'amas globulaires ont été détectés dans le disque galactique. Le plus connu et le plus observé est sans aucun doute Mayall II, de magnitude 13,7 et donc visible dans un télescope de 200 mm de diamètre.

On connaît enfin dans M31 une fameuse association stellaire, NGC 206.

L'existence du gigantesque anneau d'étoiles et de poussières (32000 années-lumières de rayon), et d'un autre plus petit (5000 années-lumières de rayon), pourrait s'expliquer par la collision avec M32. Cette petite galaxie satelitte et Andromède seraient entrées en collision il y a 210 millions d'années. M32 aurait suivi l'axe de rotation d'Andromède à la vitesse de 265 kilomètres par seconde. C'est actuellement le scénario le plus plausible au vu des simulations.

lundi 9 mars 2015

Satellites naturels de Saturne

Montage préparé d'après des photos prises par la sonde Voyager 1 en novembre 1980.

Les satellites naturels de Saturne sont lescorps naturellement en orbite autour de laplanète Saturne[note 1]. À l'heure actuelle, environ deux cents de ces entités ont été observées, dont soixante-deux dont l'orbite est confirmée et environ cent cinquante lunes mineures. Parmi les soixante-deux premiers satellites, l'existence de cinquante-trois est suffisamment confirmée pour qu'ils soient nommés individuellement alors que les neuf autres n'ont encore qu'une désignation temporaire[1]. L'existence de trois satellites supplémentaires est particulièrement remise en question. Les satellites de Saturne ont une taille très variée. On y trouve des petites lunesde moins d'un kilomètre de diamètre, mais aussi Titan, plus grand que la planèteMercure. Parmi les satellites recensés, treize ont un diamètre de plus de cinquante kilomètres.

Les deux satellites les plus notables de Saturne sont Titan, qui possède une atmosphère dense constituée principalement de diazote et des lacs d'hydrocarbures à sa surface, et Encelade, qui émet des geysers de gaz et de poussières et pourrait contenir de l'eau liquide sous son pôle Sud.

Vingt-quatre des lunes de Saturne sont des satellites réguliers. Ils ont une orbite prograde, presque circulaire et peu inclinée par rapport au plan équatorial de la planète. Parmi ceux-ci, on trouve les sept satellites majeurs, les quatre satellites troyens qui ont une orbite commune à un satellite majeur,Hypérion qui orbite en résonance avec Titanet les trois petites lunes (MéthoneAnthée etPallène) entre Mimas et Encelade qui constituent le groupe des Alcyonides. Les autres satellites réguliers (S/2009 S 1Pan,DaphnisAtlasProméthéePandoreJanus,ÉpiméthéeÉgéon) sont situés dans lesanneaux de Saturne, de l'anneau B (S/2009 S 1) à l'anneau G (Égéon). Les satellites réguliers sont généralement nommés suivant le nom des Titans ou d'autres personnages associés au dieu Saturne.

Les autres lunes sont toutes des satellites irréguliers. Leur orbite est plus éloignée de Saturne et fortement inclinée par rapport au plan équatorial de la planète. Ils ont tous une taille inférieure à trente kilomètres, à l'exception de Phœbé, neuvième satellite de Saturne découvert à la fin du xixe siècle, etSiarnaq (groupe inuit). Ces satellites sont probablement des objets capturés par Saturne, ou des fragments d'objets capturés. Ils sont classés en trois groupes selon leurs caractéristiques orbitales : le groupe inuit, le groupe nordique (auquel appartient Phœbé) et le groupe celte.

Les anneaux de Saturne sont constitués d'une multitude d'objets, dont la taille varie de quelques micromètres à plusieurs mètres. Chacun de ces objets suit sa propre orbite autour de la planète. Il n'existe pas de frontière précise entre les innombrables objets anonymes qui constituent ces anneaux et les objets plus grands qui ont été nommés. Au moins cent cinquante lunes mineures ont été détectées dans les anneaux par les perturbations qu'elles créent dans le milieu environnant et l'on pense que celles-ci ne représentent qu'une petite portion de la population totale de ces objets. Le nombre exact de satellites de Saturne ne sera donc probablement jamais connu.

lundi 2 mars 2015

Un physicien en colère parle d’énergie libre

Le savoir et la technologie comme base d’une civilisation contre la puissance des lobbys sur la recherche scientifique, voilà ce qu’il faut chercher ; ouvrons la boîte de Pandore, et mettons un terme à l’hégémonie du nucléaire, du pétrole et de toutes les autres ressources fossiles pour échapper à leurs conséquences dévastatrices sur notre environnement, notre TERRE.

Puisque quelques amis me l’ont si gentiment suggéré, au nom de la liberté d’expression, de mon mépris des Grenelle de l’environnement, de mon dégoût du nouveau cinéma – taxe carbone et MOX de Faux-cul Shima - et pour le bien être de tous, aujourd’hui, c’est l’heure du grand lavage de mains et de cerveau ! L’unique vérité est l’art de voir. Voyez.

Mon parcours

Je fus chercheur et docteur en physique au THÉÂTRE de l’enseignement occidental, ce que je sais dépasse tout ce qu’on vous a appris et même tout ce qu’on vous a caché. C’est mon libre arbitre et ma recherche de la connaissance qui me l’ont révélé, à jamais merci à l’esprit philosophique français et à la culture des philosophes des lumières que j’ai adopté au cours de ma jeunesse d’expatrié.

Ce que je veux vous donner dans cet exposé, c’est une réalité simplifiée des propriétés cachées de cet univers, de sa compréhension viendra la fin de tous les problèmes de ce monde. Et viendra la motivation absolue de changer ce monde, avec un argumentaire solide et une vision future prometteuse qui n’existe plus dans aucun courant politique actuel petit ou grand.

Il s’agit des méthodes pour produire de l’énergie notamment sous forme électrique et quasi gratuitement en « consommant le vide de l’univers » et quelques technologies d’armement se basant sur les propriétés réelles du vide de l’univers. Et oui le vide n’est pas vide, c’est un océan d’énergie invisible dans une dimension (sous espace) que nous ne percevons pas par nos sens et le commun de notre technologie.

Vous pensez peut-être que le pétrole et le nucléaire sont les seules sources d’énergies qui existent, que les armes de votre armée sont les meilleures ?
Vous vous trompez tous, mais vous avez été trompés depuis au moins un siècle par des lobbys surpuissants, maléfiques, lesquels dirigent réellement ce monde en sélectionnant leurs dociles marionnettes les représentants (Bush, Obama, Sarkozy, Ben Laden, Merkel, …). 

Nikola Tesla était trop en avance…

Lesquels pour exemple, au début du siècle dernier ont répondu à Nikola Tesla au sujet de son idée de générer de l’énergie électrique gratuite produite en puisant directement dans le vide énergétique inépuisable de l’univers, aussi rendant cette énergie accessible en tout point du monde sans fil : « Mais, M. Tesla où allons-nous placer le compteur ? », le principal actionnaire des projets de Tesla se nommait déjà JP Morgan, lequel lui a rapidement coupé tout crédit, on comprendra cela pour continuer à exploiter les ressources fossiles et en tirer le maximum de profit entre amis. [1]

Tenez maintenant dans votre esprit ces simples questions : de quoi dépend une civilisation ? Qu’est ce qui en fait sa puissance, sa liberté et son indépendance ? 
Sa culture, sa langue, ses hommes politiques, son histoire, les infections mentales qui servent de religion, … ! C’est beau, c’est du folklore, presque une pure perte de temps, un égarement nostalgique sans fin. Au fond nous partageons tous le même ADN, nous avons tous besoin de manger, et tous besoins d’énergie pour fabriquer ce dont nous avons besoin, faire grandir notre civilisation et notre bien être, nous simplifier l’existence et cela bien plus que d’une histoire ou encore une religion et une culture !

Alors une civilisation dépend peut-être de son armée, et bien non, mais de la technologie et la connaissance utilisée par cette civilisation et son autonomie énergétique, donc des ressources pour atteindre cette autonomie, la clef d’une civilisation c’est son énergie et rien d’autre.

L’Énergie du vide

Et si demain, une ressource nouvelle devait être le vide de l’univers, alors toute civilisation qui l’utiliserait deviendrait de facto indépendante de toutes les autres ressources dont notamment le nucléaire et le fossile et indépendante de tous les lobbys contrôlant ces dites ressources.

Que pensez-vous de 1 million de soldats rendus malades par une onde ! Ou morts ! Et bien ils n’auraient servi à rien ! Et tout le matériel dont ils disposaient avec ! Qui l’emporte ? Celui qui a le plus de connaissances même aux détriments d’une armée réduite, à l’extrême comme le disait Bonaparte « l’esprit l’emporte toujours sur l’épée », aujourd’hui c’est plus vrai que tout autre chose.

HAARP, le soit disant centre d’étude et de recherche atmosphérique américain situé en Alaska, il s’agit d’une arme en mesure de détruire toute forme de vie en quasi-tout point du monde sur une zone dépendant de l’énergie disponible pour modifier les propriétés du vide de l’univers sur cette même zone et rendant ainsi ce même vide impropre pour toute forme de vie qui baignerait dedans ! Et bien d’autres phénomènes dont : tremblements de terre, catastrophes climatiques, rendre inopérationnel tout équipement électronique, mur de plasma bouclier antimissile de telle sorte que le missile serait détruit durant son trajet immédiatement après avoir été détecté, et peut être même pour HAARP le dôme électromagnétique (à la façon Stargate, série dans laquelle l’énergie provient du vide) résistant aux explosions nucléaires et faisant écran à tous types de rayonnements y compris radioactifs et électromagnétiques …

Et les armes atomiques, alors un cinéma de plus, il serait si facile de s’en protéger et si facile de châtier à distance n’importe quelle nation avec une arme électromagnétique.

Ces technologies ainsi que les sources d’énergies autonomes puisant directement dans le vide de l’univers pour les faire fonctionner, depuis des décennies des nations les possèdent, de sources sûres les Russes à un stade pleinement opérationnel (Kroutchev n’a-t-il pas laissé entendre que l’URSS possédait des super-armes ?), les Américains, et quelques autres à un stade plus ou moins avancé, bouche cousue avec les OVNI humains ce sont les secrets militaires les mieux gardés au monde.

C’est Nikola Tesla qui a découvert expérimentalement, imaginé et développé le concept de l’arme électromagnétique ou rayon de la mort, il en a donné le principe de mise en œuvre et les explications nécessaires à quelques nations entre les deux guerres mondiales.

Le très éclairé docteur en physique et Colonel Tom Bearden de l’armée US en parle, en particulier au sujet des armes dites « secrètes » et des sources d’énergies alternatives, je vous conseille fortement de lire son site internet en anglais :www.cheniere.org

Vous avez entendu parler des ovnis, et bien sachez qu’au moins une partie de ceux-ci sont humains et sont de simples applications de l’utilisation et de la manipulation de l’énergie du vide qui est la seule énergie capable de produire les phénomènes propres à un OVNI (anti-gravité et accélération exponentielle).

Je vous suggère simplement de regarder ce brevet rédigé dans la langue de Molière sur le site de l’INPI (Institut Nationale de la Propriété Intellectuelle) www.espacenet.com.

Bien sûr tous les scientifiques de la pièce de THÉÂTRE, vous diront que tout cela est strictement impossible. Que ce n’est que du papier… de la théorie en dehors de la réalité, de la science-fiction… y compris pour les armes électromagnétiques et les méthodes de productions d’énergie puisant dans le vide énergétique de l’univers, alors continuons un peu !

Maintenant, reconsidérez donc bien le cinéma qui est fait au sujet du programme nucléaire de l’Iran et à propos du pétrole et du contrôle des ressources fossiles partout dans le monde ! Son but, c’est déstabiliser l’ordre politique mondial (de toute façon déjà soumis et pourri par tous types de lobbies économiques, politiques, voir même spirituels) dans le but d’assurer l’hégémonie des USA et pays vassaux ainsi que le modèle maléfique véhiculé par ceux-ci en le sauvant et le justifiant presque toujours par une guerre supplémentaire, bien sûr sous de spécieux prétextes acceptés comme sérieux par l’opinion publique manipulée (au fond il n’y avait pas d’arme de destruction massive en Irak, et Ben Laden n’est rien d’autre qu’une marionnette agent de la CIA, le 11 septembre un coup monté [2] ).

Et pourquoi ? Car qui contrôle l’énergie d’une civilisation contrôlent cette civilisation. En l’occurrence, il est facile de contrôler le pétrole et le nucléaire puisque tous les deux dépendent directement de gisements localisés dans des pays ou des zones d’influences de superpuissance ou groupements de pays se comportant comme tel, donc qui contrôle les dits pays politiquement ou économiquement en dispose.

À l’opposé de cela, il devient impossible de contrôler des pays ou une civilisation qui disposeraient de sources d’énergie infinies émanant directement d’une nouvelle ressource incommensurable et disponible en tout point de la Terre ou de l’univers, ressource qui existe depuis au moins l’apparition de l’univers, ressources qui sont simplement l’application des lois réelles de l’univers à la science et à l’ingénierie, lois découvertes mais masquées et sempiternellement jamais enseignées aux détriments du bien être de toute l’humanité pour que se perpétue toujours la toute puissance de quelques lobbies qui finalement se partagent et contrôlent ce monde (il se dit que les 100 familles les plus riches de la Terre possèdent 80 % de ses ressources).

Astronumie



ASTRONOMIE. Signaux mystérieux en provenance de l’univers lointaint

Publié le 16-07-2013 à 15h38

De mystérieux flashs d’ondes radio proviennent d'une source inconnue, à des milliards d’années-lumière.

 

QUATRE mystérieux flashs d’un millième de seconde, chacun provenant d’une direction différente, ont été détectés par le radiotélescope de Parkes, en Australie. Les caractéristiques de ces signaux indiquent qu’ils sont hautement énergétiques et proviennent de l’univers lointain jusqu’à onze milliards d’années-lumière, affirme une équipe internationale d’astronomes qui publient un relevé de ces évènements dans la revueScience.

Une origine mystérieuse

«Une seule salve d'émission radio d'origine inconnue  [appelé signal Lorimer NDLR] a été détectée en dehors de notre galaxie il y a environ six ans, mais personne n'était certain de ce que c’était ou même si c'était vrai, nous avons donc passé les quatre dernières années à la recherche de ces rafales de courte durée » résume  Dan Thornton, principal auteur de l’étude.

Les astronomes en ont identifié quatre mais leurs résultats suggèrent que de tels signaux frappent sans doute la Terre toutes les dix secondes ! « Avec les télescopes actuels, il faut avoir la chance de regarder au bon endroit au bon moment mais si nos yeux pouvait capter les ondes radios on verrait des flashs partout dans le ciel tous les jours » selon Michael Kramer directeur de l’Institut Max Planck, en Allemagne.

MAGNETARS. Pour le moment les astronomes ne connaissent pas la nature des objets associés à ces émissions radio. Ils ont exclu certains phénomènes hautement énergétiques eux-aussi comme les sursauts gamma ou la fusion entre deux étoiles à neutrons car l’émission radio est « sèche » : elle n’est pas associée à un rayonnement gamma ou X.  Il demeure une hypothèse qui a la faveur de Matthew Bailes, de l'Université de technologie de Swinburne à Melbourne, celle de magnétars.

Image d'artiste d'un magnétar. Nasa.

Les magnétars sont des étoiles à neutrons, les résidus de la mort d’une étoile massive, dotées d’un champ magnétique de très grande puissance. « Elles peuvent dégager plus d'énergie en une milliseconde que notre Soleil le fait en 300 000 ans et constituent de bonnes candidates à ces flashs » estime-t-il.

 

Des réponses avec la prochaine génération de radiotélescopes

En fait, les astronomes manquent de matière à se mettre sous la dent. Pour mieux comprendre ce type de phénomène, ils ont besoin de multiplier les observations et par la suite de les caractériser. Faute de télescopes suffisamment performants ils devront patienter jusqu’en 2020 voire 2024 pour utiliser le Square Kilometre Array, futur radiotélescope dont les 3000 antennes permettront d'obtenir des images des sources radio éloignées sur plusieurs parties du ciel simultanément. « Avec la capacité de détecter ces sources très rapides, nous ouvrons un tout nouveau domaine de l'astrophysique » concluent les auteurs.